Situé, dans le sud-Est du Niger, N’guiguimi est sous état d’urgence depuis 2015. Zone frontalière du Nigeria, la région, subit des attaques de la nébuleuse « Boko Haram», qui opère de diverses manières le long de la frontière et dans les villes et villages. Carrefour et centre de production de poivron et de poisson grâce à de la Komadougou Yobé, l’insécurité affecte tous les secteurs sociaux de base changeant complètement les habitudes des habitants
– Comment se présente actuellement la situation sécuritaire à N’guiguimi ?
– Quel est l’impact constaté avec les mesures prises contre le terrorisme ?
– Quels sont les obstacles et autres difficultés en matière de sécurité ?
– Quelles sont les actions menez en faveur de la paix dans la région ?
– Quelles sont les avancées en matière de sécurité dans la zone ?
– Quelles sont les autres actes de banditisme nés de la situation de l’insécurité qui affectent les populations ?
– Quelles sont les conséquences de ces actes sur la vie des populations ou dans les différents secteurs socioéconomiques ?
– Comment les populations vivent dans ce climat de terreur, particulièrement les réfugiés ?
– Le secteur du transport est largement affecté par le fait que la circulation à moto a été interdite, comment expliquer l’application d’une telle mesure handicapante pour une bonne partie de bras valides?
– En plus de la mobilité plusieurs secteurs sociaux de base (l’éducation, la santé, l’économie etc.), sont touchés par cette insécurité. Que fait l’Etat pour garantir les droits fondamentaux des citoyens?
– Comment les populations vivent cette hausse des prix de produits et des services?
– Malgré les efforts consentis par les associations religieuses pour lutter contre la nébuleuse « BokoHaram », la situation persiste. Qu’est ce qui n’a pas marché ?
– Quoi faire pour atténuer les souffrances des uns et des autres?
Les invités au studio de la Radio Dilleram de N’Guiguigmi :
– Inoussa Mahamadou, Président des jeunes du département de Nguigmi
– Mallam Issa Gana, acteur de la société civile (MPCR)
– Mahamane Garba, Président de l’association des éleveurs et agriculteurs
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