Le Niger, tout comme d’ailleurs ses voisins du sahel, est confronté depuis quelques années à un défi sécuritaire lié à divers facteurs. Et cette crise sécuritaire affecte les conditions de vie des populations en général et en particulier celles des femmes et des filles, dans les régions en proie à l’insécurité.
Cette frange de la population qui est la première victime, contribue aussi comme actrice de paix.
Cependant elles sont sous-représentées lors de la signature des accords de paix. Seules 6% des signataires dans les processus de paix étaient des femmes, selon les nations unies, malgré le rôle primordial des femmes dans la prévention des conflits et la consolidation de la paix.
Le dernier rapport de l’ONU sur l’agenda Femmes Paix et sécurité (FPS), révèle qu’entre 1992 et 2019, les femmes ne représentaient que 13 % des négociateurs et 6 % des médiateurs dans les processus de paix.
Pour avoir des réponses à nos interrogations, Olivier Assogbavi reçoit :
–Amina Lawali Neino ; Coordinatrice Eau Hygiène Assainissement – OXFAM à Ouallam ;
–Mme : Ibrahim Mariama Alhassane, Coordinatrice du Réseau des Femmes Parlementaires ;
–Mme: Rachidatou Bizo, Secrétaire permanente du Cadre Consultatif des Enfants et des Jeunes ;
–Mme: KADIATOU IDANI Justicière du Sahel ;