Le Niger est l’un des précurseurs en Afrique dans le domaine des énergies renouvelables, avec la création en 1965 de l’Office national de l’Energie Solaire (ONERSOL) devenu Centre National de l’Energie Solaire (CNES). Un grand espoir était en effet né au Niger grâce aux fruits des recherches du défunt professeur Abdou Moumouni Dioffo, premier agrégé en physique sur le continent africain. Malheureusement, la dépendance énergétique à laquelle le Niger continue à faire face, après 58 ans d’indépendance, montre que le pays n’a toujours pas suffisamment bénéficié des produits de ses recherches qui avaient déjà permis avant la mort du Professeur, un 07 avril 1991, la fabrication des chauffe-eaux solaires et plusieurs autres équipements solaires made in Niger.
– Où en sommes-nous à propos de toutes ces inventions?
– Qu’appelle-t-on énergie renouvelable?
– Quelles sont les énergies renouvelables disponibles au Niger?
– Quels sont les avantages de leur utilisation?
– Quels est l’état des lieux de leur exploitation au Niger et la mise en place des équipements y afférents?
– Le gouvernement a ratifié l’Accord Cadre portant création de l’Alliance Solaire Internationale (ASP) en novembre 2016 à Marrakech en marge de la Cop22, que signifie la ratification de cet instrument juridique dans le domaine du solaire pour le Niger?
– Les énergies renouvelables peuvent-elles constituer une alternative pour le développement socio-économique du pays?
– Que faire pour y arriver?
Pour en débattre, Michel Dédji reçoit :
– Pr Albert Wright, Ingénieur Hélio technicien, ancien Ministre, ancien Directeur Général de l’ONERSOL et très proche collaborateur du défunt Professeur.
– Et Dr Hassane Idrissa Souley, Chercheur et Président de l’Association Nigérienne pour la Promotion de l’Invention et de l’Innovation (ANPII).
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