Dans les contextes de démocratie, l’appréciation de la gouvernance des citoyens peut prendre diverses formes dont les manifestations publiques à travers des sit-in ou des marches pour exiger soit la prise de décisions ou l’annulation de décisions allant dans le sens ou à l’encontre de l’inspiration de la population.
Un droit garanti par des instruments juridiques nationaux et internationaux et dont l’exercice est souvent soumis à certaines exigences ou certaines conditions contraignantes et souvent préjudiciables au plein épanouissement de la liberté de manifester.
La liberté de manifester est-elle respectée au Niger ?
Les forces et les faiblesses de cette liberté à Niamey ?
Quel bilan tirer des marches organisées et celles interdites ?
Pourquoi des interdictions ?
Existe-t-il des insuffisances dans la loi qui encadre les manifestations sur la voie publique ?
Comment garantir l’exercice du droit à la manifestation dans sa plénitude ?
Quel est le rôle des associations et organisations de défense des droits humains pour l’effectivité de la liberté de manifestation ?
Pour apporter des réponses, Alhassane Kouzi Mahamadou a invité :
– Maikoul Zodi, coordinateur de l’organisation Tournons la page section du Niger et membre du cadre de concertation et d’actions citoyennes de la société civile indépendante.
– Maina Karté, juriste et secrétaire général de l’association nigérienne des constitutionnalistes
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