« Des conditions de vies défavorables et une administration corrompue », c’est ce que pense plus de la moitié de l’échantillon des nigériens interrogés lors de l’enquête menée par le réseau panafricain de recherche dénommé « afro baromètre ». Des conclusions présentées le 05 janvier à Niamey, au siège du laboratoire d’études et de recherches sur les dynamiques sociales et le développement local (LASDEL).
C’est quoi l’Afro baromètre, son utilité, comment les enquêteurs procèdent, ce que disent les résultats, les impacts sur l’administration, les affaires, l’image du pays et pourquoi pas ce que cela peut représenter pour un Niger en développement ?
Pour répondre à ces questions Moctar Hamadou a invité:
– Ali Bako du laboratoire d’études et de recherches sur les dynamiques sociales et le développement local (LASDEL), enquêteur,
– Mamane Wada de l’association nigérienne de lutte contre la corruption (ANLC), la section-Niger de transparency international,
-Et au téléphone Souley Oumarou, président du forum pour une citoyenneté responsable(FCR)
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