Au Niger, la scolarisation de la jeune et son maintien à l’école sont un défi majeur à la fois politique et social. Plus de 50% des filles n’arrivent pas à finir leur scolarité en milieu rural.
Elles quittent les bancs de l’école prématurément pour être marier ou embrasser la vie active à travers des petits commerces et autres activités au détriment des études. Le département de Tessaoua ne fait pas l’exception à la règle.
- Comment mettre fin à cette situation ?
- Quelle alternative pour donner la chance aux filles d’aller à l’école et finir leur cycle primaire et secondaire ?
- Quelle responsabilité des parents face à l’avenir de leurs enfants surtout les filles ?
- Comment doit-on améliorer à la fois l’accès à l’éducation de la jeune fille mais aussi la qualité de l’enseignement et donner ainsi aux filles les moyens d’apprendre ?
Pour répondre à ces questions, Mamane Ada reçoit dans le studio de la radio communautaire Tarmamoua de Tessaoua :
- Mme Mahamadou Sawida, représentante point focal du SCOFI ;
- Younoussa Yacouba, représentant du syndicat des enseignants du Niger, SNEN ;
- Hafizou Elhadj Harouna, représentant association des parents d’élèves;
- Ibrahim Alhassane dit Matchika, représentant de la chefferie ;
- Ali Mamane, inspecteur de l’enseignement primaire de Tessaoua .