Au Niger la loi No 2004-048 du 30 juin 2004 portant loi-cadre relative à l’élevage dit en son article 2 alinéa 5 que : tout animal, de l’espèce bovine, ovine, caprine, camelin, équine et porcine » destiné à être abattu à bref délai doit se faire sous contrôle de l’autorité vétérinaire compétente »,
Mais malgré cela, on constate tout de même que l’abattage clandestin persiste toujours dans les grandes villes et environs.
- Alors quel impact l’abattage clandestin des animaux peut avoir sur la population ?
- Comment éradiquer la pratique ?
Pour en parler Rafika Attaher reçoit :
- En ligne, Maman Nouri, président de l’association ADDC WADATA ;
- Attahirou Salifou, boucher ;
- Ousmane Idi, SG Syndicat des Travailleurs des Ressources Animales.