« D’une manière générale, on constate jusqu’à présent la non-effectivité de l’application de cette loi » a indiqué au micro du Studio Kalangou Islamane Algamiss, secrétaire général de la mairie d’Agadez. Presque une année après le lancement de cette mesure, un peu partout dans les régions du Niger, dont celle d’Agadez, des efforts supplémentaires doivent être rédoublés.
Cependant, il faut reconnaitre que « les agents de la police nationale, notamment les agents de la circulation, les autorités locales, ont pris des dispositions pour cela… ». Pour le moment ces dispositions n’ont pas l’air de fonctionner à 100%, car Islamane Algamiss indique qu’il y a « beaucoup de paramètres qui interviennent et qui ne permettent pas l’effectivité de l’application de cette loi ». Ces paramètres sont essentiellement liés à l’incivisme ou à la méconnaissance des avantages du port du casque et de la ceinture de sécurité dans la société. D’abord, les accidents de la route deviennent moins graves, donc moins de décès et de blessés graves. Notre intervenant fait remarquer qu’il y a, à côté de cela, des usagers qui se sont conformés à cette loi.
Il poursuit en soulignant la nécessité de continuer les efforts, pour mieux accompagner « l’application de cette loi auprès des responsables de la police nationale, des agents de la police de la circulation et de faire en sorte que cette loi soit respectée ».
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