Les femmes sont moins présentes au niveau des responsabilités dans l’administration. Les nominations sont faites et ne tiennent pas compte souvent de ce quota. Le nombre des femmes qui occupent des postes ministériels n’est pas au rendez-vous par exemple indique Balkissa Abarchi secrétaire générale adjointe de l’AFJN (Association des femmes juristes du Niger).
Les autres postes de commandement à savoir la préfecture, le gouvernorat l’on constate qu’il n’y a pratiquement pas de femmes au niveau de toutes les régions. En terme de quota, on est très loin du compte ajoute-t-elle.
Au niveau de la société civile poursuit Balkissa Abarchi (je pense que les femmes ont un travail à faire en amont par rapport a la vulgarisation de la nouvelle loi) mais aussi et surtout sur les voies de recours.
Interview Balkissa Abarchi
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