La danse traditionnelle ou danse folklorique désigne des danses en groupe (souvent en cercle ou en farandole) d’origine populaire puisqu’elles se dansent dans les villages, porteuses de messages et symbolisent une identité culturelle.
Ces pas de danses qui jadis sont exécutés lors de toutes les cérémonies de réjouissances ou de grands évènements bien précises ou alors sur l’incitation mercantile de quelques organisations touristiques.
Selon Boubacar Gaba dit Tela, enseignant de musique à l’école de formation et de promotion artistique et culturelle, la danse d’inspiration traditionnelle ou les danses traditionnelles dans toutes les régions du Niger ont tendance à disparaitre. Il précise que ces danses ne sont plus exécutées dans les espaces de promotions, comme les cérémonies de réjouissances populaires.
Ce constat nous amène à une préoccupation autour de la thématique ; femme et danse « quand la danse traditionnelle est recoupée et transformée.
– Est-ce que les danses traditionnelles sont vraiment menacées de disparition ?
– Quelles sont les régions concernées ?
– Pourquoi les danses traditionnelles ont-elles perdu leur place dans la société nigérienne d’aujourd’hui ? Quels genres de danse trouve-t-on sur la scène ?
– Qui contribue à la transformation de ces pas de danses traditionnelles ?
Les femmes ont-elles un rôle à jouer dans la sauvegarde de ces danses traditionnelles ?
-Comment les femmes peuvent t’elles s’y prendre pour assurer leur transmission. ?
INVITES :
– Boubacar Gaba dit Tela : enseignant de musique à l’école de formation et de promotion artistique et culturel, conservateur au musée des instruments au centre de formation et promotion de Musique CFPM TAYA ;
– FATI MARIKO : Artistes chanteuses-compositrice,
– Maman Sani : artiste musicien, joueur de gourmi ,
Présentation Balkissa Hamidou .