« 50% des mariages contractés à la mairie à Niamey échouent » selon un article publié le 16 novembre 2017 par le site d’information nigérien « Niger Diaspora ». Le nombre de séparations de couples est encore plus élevé quand il s’agit de mariages islamique ou traditionnel qui ne sont pas enregistrés dans les registres de l’état civil.
Selon les informations recueillies dans le cadre de la préparation de cette émission, il ressort que dans le cas du mariage islamique ce sont surtout les femmes qui intentent les actions en « divorce », tandis que les hommes, eux usent la plupart du temps de la répudiation.
-Quelle est la démarche à suivre en cas de séparation des conjoints dans le cas du mariage islamique et chrétien ?
-Que disent les religions en matière de dissolution des liens conjugaux ?
-Quelles sont les dispositions à prendre en cas de manquements dans la procédure ?
-Comment cadrer la procédure de séparation des conjoints dans la coutume?
Invités :
– Balkissa Abarchi Djibril, secrétaire générale adjointe de l’association des femmes juriste du Niger ;
– Sakina Maman, prédicatrice en Islam, membre du groupement des femmes « Ibadourahamane» ;
– Seïni Gado Moussa, magistrat, chef de division des affaires pénales au ministère de la justice, ancien juge de commune 2;
– Jacques Reverdy Aholou, prêtre rédemptoriste, curé de la paroisse saint Gabriel de Garbado ;
Présentation Diallo Mariama Kendah.