Dans les années 80, existait la Samaria, une structure sociale regroupant les jeunes. En son sein, une chefferie spécifique aux jeunes, appelée « Maï Samari », jouait un rôle essentiel dans la cohésion sociale des communautés locales.
Ce titre de « Maï Samari » est également présent dans la chefferie traditionnelle, mais il tend à disparaître avec le temps.
Chaibou Abdoul Karim, chef du village de Dagarka, situé dans le département de Birnin Konni, région de Tahoua, nous éclaire sur cette tradition.
Suivez ce reportage d’Assoumane Moussa Arzika.
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