Selon la convention 182, adopté à Genève par l’organisation internationale du travail (OIT), ratifiée par le Niger, les pires formes de travail des enfants constituent, toute activité qui de par sa nature et/ou conditions d’exercice, peuvent nuire à la santé, à la sécurité, à la moralité, etc.
Au Niger, conformément à cette convention, ce sont le code du travail et le code pénal, qui déterminent les conditions dans lesquelles un enfant peut ou ne pas travailler, a souligné Mahamadou Moussa coordonnateur de l’association de lutte contre le travail des enfants au Niger (ALTEN). Il est interrogé par Balkissa Hamidou.
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