La riziculture, principalement concentrée dans les vallées du fleuve Niger, reste une activité clé dans les régions de Tillabéry, Dosso et Diffa. Le riz, troisième céréale la plus cultivée au Niger après le mil et le sorgho, constitue un aliment de base pour de nombreuses familles nigériennes.
À Gaya, dans le sud du pays, cette activité ancestrale connaît un essor remarquable et s’impose aujourd’hui comme un pilier de l’économie locale.
Selon la direction locale de l’Office National des Aménagements Hydro-Agricoles (ONAHA), Gaya dispose actuellement de 184 hectares d’aménagements hydro-agricoles, répartis entre :
- Tara : 120 ha
- Tchessa : 25 ha
- Sakongui : 63 ha
- Yelou : 41 ha
La majorité de ces superficies est dédiée à la culture du riz, et 2 098 producteurs y sont actifs.
Pour faire le point sur les avancées dans la production rizicole à Gaya, Ramatou Issa Wanké reçoit trois invités :
- M. Assouman Ayouba, représentant de la CRA
- M. Issaka Sounna, directeur de la coopérative Haray Garay
- M. Moussa Abdou, cultivateur de riz