Selon l’article 221 du code pénal nigérien, toute personne dépositaire de secrets dans l’exercice de sa profession tel que policier, magistrat, médecin, sage-femme, infirmier, pour ne citer que ceux-là, qui ose parler publiquement de ces secrets, sans que la loi ne l’oblige et ou ne l’autorise, sera punie d’un emprisonnement de deux (2) mois à un (1) an et / ou d’une amende de 10 mille à 20 mille FCFA.
C’est ce qu’explique la magistrate, Gogé Maimouna Gazibo, au micro de Balkissa Hamidou.
Le magazine en français
Le magazine en haoussa
Le magazine en fulfuldé
Le magazine en zarma
Le magazine en tamasheq