Selon la loi sur la dépénalisation des délits commis par voie de presse, aucun journaliste nigérien, ne peut être privé de sa liberté, pour avoir diffamé, injurié, offensé et ou diffusé de fausses nouvelles dans l’exercice de ses fonctions.
Cependant, certaines dispositions de la loi sur la cybercriminalité adoptée en 2019, viennent remettre en cause, cette dépénalisation.
Plus de détails avec Abdourhamane Ousmane, ancien président du conseil supérieur de la communication, joint au téléphone par Balkissa Hamidou.
Le magazine en français
Le magazine en haoussa
Le magazine en fulfuldé
Le magazine en zarma
Le magazine en tamasheq