La fistule génitale féminine ou encore appelée fistule obstétricale reste un problème de santé publique au Niger. La fistule touche les femmes le plus souvent des suites d’un accouchement difficile. Le ministère de la santé, estime à 750, le nombre de nouveaux cas enregistrés par an.
Madame Mohamed Balkissa, est l’une d’entre elles ; durant 4 ans elle a enduré le calvaire de la maladie. Aujourd’hui guérie, elle raconte son histoire.
Des propos recueillis par Balkissa Hamidou.
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