Pendant les conflits et les situations d’urgence, on enregistre des violences basées sur le genre dont sont victimes, le plus souvent, les femmes, les jeunes filles et les enfants.
Ces violences constituent une infraction à la loi pénale du Niger, comme le viol qui est puni d’un emprisonnement de 10 à 20 ans, explique le juriste Alfred Goubadjé, président du RASAPRES-DIH-DH, rassemblement des acteurs pour la promotion et le respect du droit international humanitaire et des droits de l’Homme.
Il est interrogé par Michel Dédji.
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