L’article 14 de la constitution de la 7éme République a interdit la maltraitance de l’être humain sous toutes ces formes. « Nul ne sera soumis à la torture, à l’esclavage ni à des sévices ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Tout individu, tout agent de l’État, qui se rendrait coupable d’actes de torture, de sévices ou traitements cruels, inhumains ou dégradants dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions, soit de sa propre initiative, soit sur instructions, sera puni conformément à la loi ».
Mais force est de constater que ce phénomène existe toujours dans le domaine du travail et se manifeste sous diverses formes.
- Comment se définit l’abus de pouvoir ?
- Quelles sont les sanctions prévues pour cette infraction ?
Pour répondre à toutes ces questions et à bien d’autres, Hadiza Siddikou a invité :
- Mme Fatouma Issaka présidente régionale du REFESY Niamey (réseau des femmes enseignantes du Synaceb)
- Mme Haoua saadou, spécialiste Ministère de la promotion de la femme et de la protection de l’enfant
- Mr Nouridine Aouadé, Huissier de justice et membre de l’ONG Chronique juridique
- Hamadou Bangna Ibrahim, sociologue.