Vers l’abolition de la peine de mort au Niger : avancées et obstacles

La peine de mort ou peine capitale pour certains pays, dont la législation est celle qui permet d’exécuter une  personne reconnue coupable d’une grave infraction à l’issue d’un procès. En…
Vers l’abolition de la peine de mort au Niger : avancées et obstacles
Les invités au forum du jour / Studio Kalangou

La peine de mort ou peine capitale pour certains pays, dont la législation est celle qui permet d’exécuter une  personne reconnue coupable d’une grave infraction à l’issue d’un procès.

En 2020, 18  États ont procédé à des exécutions, 54 pays ont annoncé des condamnations à mort.

Selon la coalition mondiale de lutte contre la peine de mort, à ce jour, 141 pays ont aboli cette pratique dans leurs législations.

Au Niger, comme dans les d’autres pays du monde, les abolitionnistes continuent le combat en faveur de cette abolition.

Quelles sont les avancées réalisées contre l’abolition de la peine de mort au Niger ?

Quels sont les obstacles à relever pour que l’abolition de la peine de mort soit une réalité au Niger ?

Quels sont les crimes pour lesquels la peine de mort peut-être prononcée en République du Niger ?

Pour débattre de ces questions et même d’autres, Michel Dédji reçoit :

  • Almoctar Garba Illou, président de la coalition nigérienne contre la peine de mort ;
  • Au téléphone, Moumouni Alfari, président d’ACAT Niger, une ONG nigérienne de défense des droits de l’homme pour l’abolition de la peine de mort ;
  • Almoustapha Moussa Idé, président du mouvement abolitionniste nigérien et ancien président du comité contre la peine de mort, tortures, traitements inhumains et dégradants de la Commission Nationale des Droits Humains CNDH.