Cette semaine, un élève de l’école primaire a poignardé son enseignant et un autre enseignant aurait quant à lui, échappé de justesse à une tentative d’assassinat par son élève.
Selon le site du fonds des nations unies pour la population (UNFPA), dans une étude en 2004, de l’association nigérienne pour l’autopromotion humaine (ONG ANAPH Mutunci), Il ressort que « 87.5% des jeunes filles (élèves et étudiantes) et 81% des jeunes garçons interrogés, confirment l’existence du phénomène dans leurs établissements ».
« La situation est préoccupante d’autant plus que le phénomène touche tous les niveaux d’enseignement et que les auteurs se trouvent dans le milieu scolaire même ou en sont proches » souligne le rapport.
-Qu’est-ce qui pourrait être la cause de ces violences ?
-Où se situent les responsabilités ?
-Qui des filles ou des garçons sont plus concernés par ce genre de problème ?
-Abass Djibo : Membre du syndicat des enseignants contractuels.
-Soumaïla Kanguey Koba : Censeur CES ZAM
-Oumarou Badjé : Professeur d’Histoire et de Géographie
-Abdoul Rachid Soumaïla : Elèves en classe de première A4 et secrétaire général du comité exécutif du CES ZAM
-Daouda Ibrahim : Elève en classe de terminal A4
-Imran Ali : Membre comité exécutif du CES ZAM.
Présentation : Fanta Chamsou.