Au Niger nombreux sont les enfants qui sont touchés par des pratiques néfastes. Par ailleurs il n’est pas rare de voir des enfants mendiants, guide mendiants, certains contraints à des travaux forcés et d’autres aux mariages forcés.
L’UNICEF, le fonds des nations unies pour l’enfance, dans un article publié en mars 2020, relève qu’au Niger plus de 80% des enfants ont subi une discipline violente ; seulement 6 enfants sur 10 ont un certificat de naissance et 28% des filles sont mariées avant 15 ans et 76% avant 18 ans.
- Comment lutter contre toutes ces pratiques néfastes auxquelles font face les plus jeunes au Niger ?
- Comment expliquer la persistance de ces pratiques ?
- Quels pourraient être les impacts sur la vie des enfants concernés ?
Et bien les amis, la réponse à ces questions avec nos invités :
- Soumaïla Amadou, du comité nigérien sur les pratiques traditionnelles ayant effet sur la santé des femmes et des enfants, CONIPRAT ;
- Aïchatou Mamoudou, membre du cadre consultatif nigérien des enfants et des jeunes, CCNEJ ;
- Maïga Moulaye Lamine, membre de l’association d’aide aux enfants des milieux défavorisés, ARDO-YESSO ;
- Salima Lawali, membre du cadre consultatif nigérien des enfants et des jeunes, CCNEJ ;
- Ibrahim Maman Chaïbou, de l’ONG PLAN international-Niger.
- Chamsiya Aboubacar Bizo, membre du cadre consultatif nigérien des enfants et des jeunes, CCNEJ.
Présentateur : Habibou Garba