Le don de sang constitue en effet, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l’un des gestes les plus simples pour sauver des vies.
Selon l’OMS, si 1 à 2% de la population totale d’un pays donne du sang cela aurait été suffisant pour assurer l’autosuffisance en produits sanguins.
Malheureusement le Niger est « encore loin de cet objectif » a déploré le ministre de la santé publique à l’occasion de la célébration de la 19ème édition de la journée mondiale du donneur de sang célébrée le 14 juin sous le thème : « Donner son sang : un acte de solidarité. Rejoignez le mouvement et sauver des vies ! »
Selon Dr Illiassou Idi Maïnassara « En 2021, sur 241.128 dons attendus (représentant 1% de la population), 179.079 ont été réalisés soit 74%. »
« Parmi ces dons réalisés, seuls 28% ont été prélevés auprès de donneurs volontaires » a-t-il rajouté.
-Quels sont les obstacles au don de sang au Niger ?
-Comment améliorer la mobilisation autour de la pratique du don de sang au Niger ?
Pour débattre, Michel Dédji reçoit comme invités ce soir :
-Dr Fati Hassane, Médecin généraliste au Centre Régional de Transfusion Sanguine (CRTS-Niamey) ;
–Ly Moussa, Technicien Biologiste, Représentant de l’Association des Donneurs Bénévoles de Sang du Niger (ADBSN Niger) ;
-Mme Hamani Mariama, Communicatrice du Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS-Niger) ;