Conscientes de la croissance démographique rapide et des conséquences sociales, sanitaires et économiques qu’elle engendre, les autorités du Niger ont mis en œuvre de nombreuses stratégies et activités dans le but de contrôler l’augmentation de la population en améliorant la planification familiale.
Ainsi, le Niger veut rehausser le taux de prévalence contraceptive moderne de 21,8% en 2020 à 29,3% en 2025, et à 36,8% en 2030, selon un article écrit sur la page du partenariat de Ouaga Niger.
Au Niger, les femmes et les jeunes filles représentent plus de la moitié de la population du pays, soit 50, 14%. Vu les normes socio culturelles et religieuses propres au pays, l’accès aux informations et services de santé sexuelle et reproductive n’est pas facile pour elles toutes. C’est pourquoi, de nombreuses organisations, notamment pour des jeunes, sont créées pour donner à ces femmes et ces filles la possibilité de bénéficier de services de santé adéquats.
- Que font ces différentes structures de jeunes pour faciliter cet accès aux services DSSR aux jeunes femmes ?
- Quel est leur champ d’intervention ou limites ?
- Et comment s’y prennent-elles ?
Pour répondre à ces questions et bien d’autres nous avons comme invité :
– Samira Boubacar, de l’association GEMS,
– Adama Garba Abdou, de la CNJFL,
–Dr Chamssiya Mamane Sani Ali, présidente de l’association des jeunes médecins du Niger,
-Dadi Djibrilla de l’UDEJ,
Présentation, Samira Rouafi.
Franco-Haoussa