Les 25 et 26 janvier, 04 centrales syndicales réunies au sein de l’Intersyndicale des travailleurs du Niger ITN ont observé une grève de 48 heures sur l’ensemble du pays.
Dans les premières lignes des principales revendications de ces centrales syndicales figurent le recrutement des contractuels de l’éducation et de la santé à la fonction publique.
En ce qui concerne le recrutement des contractuels de l’éducation à la fonction publique, une rencontre entre le ministre de l’éducation nationale et les représentants du secteur a été organisée le 1er février 2023.
Au terme de cette rencontre, il a été annoncé qu’un plan de résorption visant à résorber l’ensemble des enseignants contractuels remplissant les conditions d’intégration à la fonction publique sera mis en œuvre.
Ce plan prévoit 4 cohortes sur la base de l’ancienneté et la première qui s’apprête à être évaluée avant d’être recrutée est composée de 22.942 enseignants contractuels.
-Comment les différents syndicats de l’éducation s’apprêtent ils à accueillir ce recrutement à la fonction publique nigérienne ?
-Quels sont les enjeux de ce recrutement ?
-Quels sont les défis à relever en vue de sa bonne organisation ?
Pour en débattre, Michel Dédji reçoit :
–Hima Achana, directeur des Ressources Humaines du ministère de l’éducation nationale.
-Alio Samna, secrétaire général du Syndicat National des Enseignants de Base (SNEB)
-Daouda Gali, secrétaire général Adjoint du Syndicat National des Enseignants du Niger (SNEN)