Les petites bonnes face à la tentation urbaine, quelles alternatives ? 

Pour soutenir leurs familles, les jeunes filles des villages s’adonnent à des travaux domestiques dans les grandes villes. A Konni, elles sont des dizaines voire des centaines de jeunes filles…
Les petites bonnes face à la tentation urbaine, quelles alternatives ? 
Les invités au forum du jour

Pour soutenir leurs familles, les jeunes filles des villages s’adonnent à des travaux domestiques dans les grandes villes.

A Konni, elles sont des dizaines voire des centaines de jeunes filles qui ont quitté leurs villages pour travailler dans des habitations comme bonnes. Malheureusement, bon nombre d’entre elles se retrouvent prises dans les filets des mauvaises fréquentations et de l’appât du gain facile. Elles y prennent gout et quittent même souvent leur travail initial pour ce nouveau travail qui rapporte plus.

Pour en parler de cette situation que vivent les petites bonnes, nous recevons comme invités :

-Abdoul Moumouni Ibrahim, représentant direction promotion de la femme et protection de l’enfant.

-Maman Zabeirou, prédicateur ;

-Aichatou Harouna, mère éducatrice.

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