Jadis, quand il y a un décès dans une famille, vu la tristesse, ce sont les parents, les voisins, les amis et connaissance, qui apportaient les plats, des vivres à la famille du défunt afin de soutenir la souffrance.
Mais aujourd’hui, c’est carrément le contraire, au lieu d’apporter, on emporte.
Dans la maison de deuil, on voit Marmite, Hangar, causerie de toutes sorte, rire en éclats, en train d’attendre le fameux plat et consort, pour manger avant de partir.
« Les gaspillages de nourriture lors des décès » c’est le thème sur lequel notre débat d’aujourd’hui va porter en zarma.
Comment les gens trouvent le courage de cuisiner après avoir eu un décès ?
Comment les gens trouvent le courage de venir manger, se régaler, et se laver les mains à un décès ?
Quelle est la génération dans laquelle nous somme ?
Pour répondre à ces questions Karimou Hassoumi Gourouza a invité au studio :
-Mahamadou Gamatché acteur de la société civile
-Ibrahim Moussa : citoyen
-Au téléphone Ibrahim Bagna : le sociologue et l’imam Alpha Hamid