Ce mardi 11 juillet, les épreuves écrites de la session 2017 du baccalauréat ont commencé sur l’ensemble du territoire national. 46 972 candidats concourent dont 31 776 garçons et 15 396 filles répartis dans 125 centres d’examen, 43 à Niamey et 82 à l’intérieur du pays, et ce pour toutes les séries et types de baccalauréat.
A Niamey, c’est le gouverneur de la région, Saidou Aly Zataou, accompagné du Directeur du Service des examens du Baccalauréat, qui a procédé au lancement de l’examen, en ouvrant la première enveloppe scellée contenant l’épreuve de français, après avoir souhaité bonne chance et invité les candidats à travailler dans le calme et la sérénité; le gouverneur Saidou Aly Zataou assure que tout a été fait pour que l’édition 2017 du baccalauréat se déroule dans les meilleures conditions possibles :
« Des mesures ont été prises pour réprimer toute tentative, de fraude (et ce) conformément à la loi. Des dispositions ont été prises à tous les niveaux pour vraiment parer à cela. (Il est)…vrai que cette année, il y a eu quelques perturbations. Mais…dès lors…que le programme a été globalement fini, notre attente, c’est vraiment la réussite, à un taux raisonnable et acceptable. »
Au service des examens du baccalauréat de l’Université de Niamey, une équipe permanente, dirigée par Docteur Chaibou Mahamadou, assure la coordination au plan national des épreuves. Il se réjouit du bon démarrage de cet examen.
« Sur l’ensemble du territoire national, je reçois tous les échos, les jurys se sont très bien installés. Les sujets ou les épreuves……sont à la hauteur. Et ces épreuves la sont conformes au programme des enseignements que…(les élèves)…ont reçus. Donc je pense qu’ils peuvent avoir de bons résultats. Il suffit d’un peu de lucidité et d’abnégation. Ils peuvent bien réussir. »
Les épreuves écrites prendront fin le vendredi 14 juillet prochain avec les épreuves facultatives de dessin ou de couture au choix.