D’intenses pratiques de la religion et aussi des activités commerciales dans les marchés, les coins et autres artères de la capitale qui grouillent de monde venu chercher soit des moyens de rupture du jeune, soit pour préparer déjà la fête du ramadan qui s’annonce.
Pendant ce mois de ramadan, les réseaux sociaux sont également utilisés pour faire du marketing.
Il n’est pas rare de voir sur les statuts : Dan Watché chic, dambou garni, spéciale ATIEKE.
Des jeunes interviewés par le studio kalangou affirment qu’ils tirent profit du mois de ramadan par exemple Mourtala un vendeur de pastèque dans la ville de Maradi qui gagne moins 600f de bénéfice par jour.
Avec nos invités nous allons voir les différents commerces auxquels les jeunes s’adonnent pendant le mois de ramadan.
Ce qu’ils gagnent, Comment développent ils le business ?
Pour en parler nous sommes à l’université Abdou Moumouni de Niamey avec comme invités :
*Souley Seyni Fati, étudiante en économie et productrice de jus naturels
* Jayambo Pana Abdoul Nasser, étudiant à la faculté art et culture et vendeur de textile et d’électroménager
*Mamoudou Amadou Arafat, étudiant au département d’anglais également couturier et restaurateur
*Abdoulaye Maje Za’idou, étudiant en chimie fondamentale et vendeur de fruits sur le campus
*Soumaya Amadou, étudiante et vendeuse de Nems
Présentation : Habibou GARBA
Franco-Zarma