Dans la Fada d’aujourd’hui nous parlons de la scolarisation de la jeune fille, une des problématiques auxquelles est confrontée le Niger.
Il y a quelques années, la commune rurale de Maijirgui, dans le département de Tessaoua, battait le record du faible taux en matière de scolarisation et de maintien de la fille à l’école. Malgré l’amélioration constatée, le taux est de 43,83% en 2012.
Avec les efforts que déploient les acteurs concernés par le problème de l’éducation, on compte de plus en plus de filles qui franchissent le seuil des écoles secondaires. Mais le combat est loin d’être gagné.
C’est pourquoi le chef de l’Eta tdu Niger, Mohamed Bazoum, a présidé, le 21 septembre à New-York, en marge de la 77ème session de l’Assemblée Générale des Nations Unies, une Table Ronde pour solliciter, auprès des partenaires, un financement pour la construction des internats des jeunes filles rurales au Niger.
Un geste qui traduit la volonté des autorités du pays à maintenir la jeune fille à l’école.
La fada est installée dans une école de la capitale économique du Niger c’est à dire Maradi.
Pour parler de la thématique, je suis avec : avec les élèves filles et garçons, les enseignants, le président des parents d’élèves du lycée Dan Baskoré