Jadis au Niger, quand il y a un décès dans une famille, vu la tristesse, ce sont les parents, les voisins, les amis et connaissances, qui apportent les plats, les vivres à la famille du défunt afin de soutenir sa souffrance.
Mais aujourd’hui, c’est pratiquement le contraire. Au lieu d’apporter, on emporte.
Dans la maison de deuil, on voit marmites, hangars, causeries, rires en éclats, les personnes venues pour les condoléances attendent le plat pour manger avant de partir.
Comment expliquer cet état de fait ?
Pour débattre Mamane Ada a reçu:
-Saidou Oumarou, sociologue en formation Université Abdou Moumouni de Niamey
-Habibou Aboubacar, membre association des Imans et Mouchidines du Niger
-Ganda Saley, président ONG-ADDAINA en ligne
Le forum en haoussa
Télécharger le forum ici.