A l’instar de nombreuses cuisines traditionnelles africaines, celle du Niger est tout aussi variée, fine, aromatisée. Comme dans bon nombre de pays africains, la gastronomie nigérienne est le reflet d’une société où bien manger fait partie des habitudes.
Et, ceux qui visitent le Niger ont une forte envie de découvrir la cuisine nigérienne.
S’agissant de l’artisanat, ce secteur qui représentait jusqu’à 25% du PIB du Niger, est depuis quelques années fortement touché par le fléau insécurité. D’après un bulletin de business challenge publié le 02 mars 2016, au Niger, près d’un millions de personnes vivent à temps plein ou de manière saisonnière des activités artisanales. Ces personnes voient leurs conditions d’existence devenir de plus en plus difficiles, du fait de la baisse drastique des revenus liés à la vente des objets d’art.
Pour parler des apports et des difficultés de la gastronomie et de l’art dans le tourisme nigérien ainsi les perspectives pour booster ces deux sous-secteurs économiques, Balkissa Hamidou reçoit:
-Moumouni Mahamane Salissou, directeur de la restauration à l’hôtel gaweye de Niamey ;
-Boubacar Niandou Chaibou, formateur au centre des métiers du cuir et de l’art du Niger ;
-Et Boubacar Soumana, secrétaire général de la coopérative artisanale du musée national Boubou Hama de Niamey.
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