Le forum en haoussa du 30/03/2019: «Lutte contre les mutilations génitales féminines au Niger : avancées et défis»

 Au Niger, la mutilation génitale féminine est pratiquée surtout dans les régions de Niamey et Tillabéry (ouest) ainsi qu’à Diffa (extrême sud-est). Environ 66% des femmes vivant dans la partie…
Le forum en haoussa du 30/03/2019: «Lutte contre les mutilations génitales féminines au Niger : avancées et défis»
LES INVITES AU FORUM EN HAOUSSA DU 30 MARS 2019

 Au Niger, la mutilation génitale féminine est pratiquée surtout dans les régions de Niamey et Tillabéry (ouest) ainsi qu’à Diffa (extrême sud-est). Environ 66% des femmes vivant dans la partie ouest du pays, proche des frontières avec le Mali et le Burkina Faso, ont été soumises à cette coutume, selon le Comité nigérien sur les pratiques traditionnelles, néfastes (CONIPRAT). En février 2017, des populations de trente villages de la commune de Makalondi (sud-ouest de Niamey), ont décidé de mettre fin à la mutilation génitale féminine et à l’excision, néfastes à la santé et au bien-être de la femme et de l’enfant. Cette décision s’inscrit dans le cadre de la commémoration de la journée internationale « Tolérance Zéro » à l’égard des mutilations génitales féminines.

Pour parler du chemin parcouru et de ce qui reste à faire pour freiner ces pratiques d’un autre âge, Haoua Ousmane a invité:

– Doulaye Maimouna , du comité nigérien sur les pratiques traditionnelles (CONIPRAT)

-Et Traoré Salamatou sage-femme, membre de l’Association des Sages-femmes du Niger, présidente de l’ONG Dimol qui prend en charge les malades de la futile.