L’association islamique du Niger, a indiqué avoir enregistré en 2021 quelque 3088 cas de divorces, mis à part ceux qui sont prononcés dans les tribunaux ou ailleurs.
Et au Niger, en cas de dissolution d’un mariage ou d’une répudiation sans entente des parents, l’enfant pourrait être confié à un ou l’autre des parents, selon le Code pénal.
Il reviendra donc au juge des affaires familiales de trancher sur la question de la garde de l’enfant selon un seul critère : l’intérêt de celui-ci.
Pour ce qui est des cas de divorces traités à l’association islamique, il reviendra au service en charge de la question de trancher sur les modalités de la garde des enfants et le montant de la pension alimentaire.
Pour en savoir plus sur la question, Rabia Maikano reçoit comme invités :
- Mamar Seydou Ibrahim, Assistant social au tribunal de l’arrondissement communal Niamey 5 ;
- Mme Saley Madou Fatima, directrice de la protection juvénile au ministère de la justice;
- Oustaz Ahmahamadou Moustapha, prédicateur et membre du conseil islamique du Niger ;
- Mahamadou Moussa, de l’Association pour la Lutte Contre le Travail des Enfants ;