Les sages-femmes sont en première ligne dans les soins de santé aux mères. Et seulement 40% des femmes accouchent avec l’assistance de personnels formés. Ce chiffre de 2017 émane du directeur de cabinet du ministre de la Santé publique du Niger à l’occasion de la journée mondiale des sages-femmes.
Cependant, l’image de ces praticiennes est maintenant écornée à cause des mauvaises pratiques de certaines, disent beaucoup de femmes ; les patientes seraient victimes de négligence, violence verbale, manque de respect, mépris, discrimination….
Pour mieux comprendre et dégager des options correctives, Rahilatou Soumana reçoit:
-Mme Halidou Fadima, sage-femme à la retraite et membre de l’association des sages-femmes du Niger
et Mme Kabirou Lalla Coulibaly, en master socio anthropologie de la santé pour sa participation à des recherches sur la pratique quotidienne de la sage-femme et publiées en 2015 par le LASDEL (laboratoire d’études et de recherche sur les dynamiques sociales et le développement local).
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