Féminicide au Niger : «…il y a des cas. Mais les cas ne sont pas nombreux» a déclaré Mariama Moussa la présidente de l’ONG « Sos Femmes et Enfants Victimes de Violences Familiales »

A travers le monde, les femmes sont de plus en plus victimes de violence physique de la part de leurs conjoints ou de leurs ex-conjoints. Ces violences de fois conduisent…
Féminicide au Niger : «…il y a des cas. Mais les cas ne sont pas nombreux» a déclaré Mariama Moussa la présidente de l’ONG « Sos Femmes et Enfants Victimes de Violences Familiales »
Femme battue par son conjoint/Photo archive Sos FEVVF

A travers le monde, les femmes sont de plus en plus victimes de violence physique de la part de leurs conjoints ou de leurs ex-conjoints. Ces violences de fois conduisent à la mort : c’est ce qu’on appelle un « Féminicide ». Par définition il désigne le meurtre d’une ou de plusieurs femmes ou filles en raison de leur condition féminine.

Si au Niger, les cas de féminicides ne sont pas nombreux, il faut comprendre qu’  « il y a des femmes qui meurent chez leurs maris sans qu’on dise que c’est le mari qui, l’a tué », a déclaré Mariama Moussa la présidente de l’ONG FEVVF dans une interview accordé au studio kalangou.

Pour éviter ces cas de féminicides, Mariama Moussa estime qu’il faut libérer la parole.  « Le phénomène existe, il faut en parler. C’est le fait de garder silence autour du fléau qui pose problème » a conclu Mariama Moussa.