« Aujourd’hui, nous avons des camarades qui n’ont pas encore reçu leur pécule d’août…Comment est-ce qu’ils vont penser à la rentrée scolaire ? » s’interroge Ibrahim Chaibou, coordinateur de l’Unité Syndicale des Enseignants Contractuels de Base, USECOB au micro du Studio Kalangou.
« On ne peut pas parler de rentrée du moment où, nous ne sommes pas dans nos droits » a martelé Ibrahim Chaibou à moins d’une semaine de la rentrée scolaire fixée au lundi 16 septembre sur l’ensemble du Niger.
Compte tenu du nombre important de contractuels au sein du corps enseignant, le risque d’un boycott de la rentrée reste sérieux.