La fistule génitale féminine et/ou fistule obstétricale restent de véritables problèmes de santé publique au Niger. De nombreuses jeunes femmes, majoritairement celles qui vivent en milieu rurale en souffrent, le plus souvent des suites d’un accouchement difficile.
Selon le ministère de la santé, le Niger ne dispose pas de données d’envergure nationale sur la prévalence de la fistule. Cependant il estime le nombre de nouveaux cas à environ 750 par an.
– Quels sont les facteurs qui favorisent cette maladie ?
– Comment se fait la prise en charge des victimes ?
– Quelles sont les régions cibles ?
– Comment éviter la fistule génitale féminine ?
Pour faire l’état des lieux, Rahilatou Soumana fait parler:
– Mme Traoré Salamatou, sage-femme à la retraite, présidente de l’ONG DIMOL (qui signifie dignité en langue peulh)
– Dr Idrissa Abdoulaye, chirurgien urologue, directeur du centre national de référence des fistules obstétricales (CNRFO).
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