Sous prétexte de contrôler la sexualité d’une femme, le recours aux exciseuses traditionnelles, aux chirurgiens pour pratiquer l’excision est strictement interdit au Niger.
Les auteurs de la mutilation génitale féminine ainsi faite volontairement risquent jusqu’à 20 ans de prison surtout si cette ablation provoque la mort de la fille victime.
Les explications de la magistrate Gogé Maimouna Gazibo dans cet entretien accordé à Balkissa Hamidou.
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