L’enrôlement des enfants dans les conflits armés est formellement interdit par la Convention relative aux droits des enfants, la Charte africaine sur les droits et le bien-être de l’enfant, le Droit international humanitaire et tout le dispositif juridique national qui protègent les enfants, parce qu’il va à l’encontre des principes indélogeables des droits de l’enfant, notamment le droit à la survie, le développement ou l’intérêt supérieur de l’enfant.
La responsabilité pénale des actes posés par les enfants enrôlés incombe aux auteurs de l’enrôlement, selon Sidikou Moussa, président de la Coalition des Organisations nigériennes des Droits de l’Enfant dans un entretien accordé à Balkissa Hamidou. C’est dans la rubrique habituelle du lundi.
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