Quelle alternative face à la dégradation des terres de culture à Maradi ?

De nos jours suite à l’action humaine mais aussi à l’action de la nature dont les changements climatique, l’érosion, la disparité des pluies, les vents forts et le rétrécissement des…
Quelle alternative face à la dégradation des terres de culture à Maradi ?
Que faire pour sauver ces terres afin de les rendre plus fertile dans la région de maradi

De nos jours suite à l’action humaine mais aussi à l’action de la nature dont les changements climatique, l’érosion, la disparité des pluies, les vents forts et le rétrécissement des zones humides font en sorte que les sols sont devenus secs et arides. Il faut alors pour la survie des êtres humains, de la flore et de la faune que ces terres soient restaurées.

Au Niger, selon les services de l’environnement, chaque année près de 100 000 hectares de terres agricoles sont récupérées ce qui place le pays en première ligne de lutte face aux changements climatiques. De 2016 à 2021, près de 780.000 hectares ont été traités soit une moyenne de 100.000 hectares par an.

La région de Maradi, est une zone pastorale par excellence, où les vastes étendues de plaines et plateaux sont aujourd’hui inadaptées aux cultures, la déforestation a dénudé les terrains, les animaux et autres oiseaux ont désertés les lieux pour des endroits plus cléments.

  • Que faire alors pour sauver ces terres afin de les rendre plus fertile?

Pour débattre Haoua Ousmane reçois comme invités sur ce plateau :

  • Colonel Laouali Soumaïla, de la direction régionale de l’environnement de Maradi ;
  • Rabi Mahamane, Représentante des productrices Ounfani Zogalé  de Jiratawa;
  • Adamou Idé Sanoussi, représentant de l’ONG Taimonka Manoma

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