Les mythes et traditions africaines peuvent parfois perpétuer des normes stéréotypées qui favorisent les violences basées sur le genre. Selon une étude de l’initiative Spotlight menée en 2021, les femmes (38,2%) sont plus touchées que les hommes (16,3%) par les violences basées sur le genre (VBG) au Niger dont la plupart sont des jeunes.
À cet effet, la lutte des structures de jeunes est essentielle pour promouvoir l’égalité et la protection des droits humains. Ces structures sensibilisent les jeunes aux problématiques de genre, offrent des espaces d’écoute et de soutien, et encouragent l’engagement civique. Ce soir, Samira Rouafi aura comme invitée :
- Mme Samira Boubacar, médecin et présidente et l’association GEMS ;
- Souleymane Tsalha, de L’association ARDSES,
- Aichatou Cissé, membre de l’association GEMS (Girls Engaged in Medicine and other Sciences) ,
- Taifou Ousmane, membre de l’association des jeunes religieux pour la santé.
Franco-Zarma