Les auteurs des délits commis par voix de presse comme la diffamation, l’injure faite à l’encontre d’une personne et ou d’une corporation, seront condamnés à verser une amende de 500 000 à 2 500 000 F CFA de dommages au trésor public, selon le code pénal nigérien. Aussi la victime et ou sa famille peut se constituer partie civile pour exiger une réparation du préjudice causé.
Suivons les détails avec la magistrate Gogé Maimouna Gazibo interrogée par Balkissa Hamidou.
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