Les pires formes de travail des enfants rencontrés au Niger

Selon la convention 182, adopté à Genève par l’organisation internationale du travail (OIT), ratifiée par le Niger, les pires formes de travail des enfants constituent, toute activité qui de par…
Les pires formes de travail des enfants rencontrés au Niger
Des enfants creusent et déplacent de la terre pour fabriquer des briques et enduire des maisons © Ollivier Girard/ CIFOR/flickr CC0

Selon la convention 182, adopté à Genève par l’organisation internationale du travail (OIT), ratifiée par le Niger, les pires formes de travail des enfants constituent, toute activité qui de par sa nature et/ou conditions d’exercice, peuvent nuire à la santé, à la sécurité, à la moralité, etc.

Au Niger, conformément à cette convention, ce sont le code du travail et le code pénal, qui déterminent les conditions dans lesquelles un enfant peut ou ne pas travailler, a souligné Mahamadou Moussa coordonnateur de l’association de lutte contre le travail des enfants au Niger (ALTEN). Il est interrogé par Balkissa Hamidou.