Aujourd’hui nous allons parler du choix politique des jeunes dans la gestion du pays.
En tout cas, il n’est pas rare de voir des jeunes qui apprécient positivement ou négativement la gestion politique des inondations qui secouent le Niger et plusieurs pays en Afrique de l’ouest.
Au Niger, à la date du 7 septembre 2020, dans le bilan dressé par le comité de suivi des inondations, on dénombre 46 départements affectés, soit 670 villages et quartiers touchés. Plus de 38.000 ménages sinistrés enregistrés, soit environ 330.000 personnes. Près de 32.000 maisons effondrées et environ 6000 hectares de cultures inondés. Malheureusement on déplore 65 morts au total, liés à ces inondations.
Plusieurs voix s’élèvent sur les réseaux sociaux, principalement celles des jeunes, pour demander une meilleure implication des autorités, des politiques dans la gestion de cette crise.
Mais est-ce suffisant ?
Comment espérer un changement, quand on ne veut pas s’engager politiquement ?
Pour trouver des réponses à ces interrogations, nous sommes au temple de la démocratie nigérienne, le palais du 29 juillet de Niamey.
Avec nous dans la fada
*Salmou Moussa, membre de l’association jeune volontaire du Niger,
*Mahaman Zeinabou, jeune engagée en politique,
*Issoufou Alfaga Abdoul-Kader, jeune activiste ;
*Salamatou Oumarou, membre de l’AJDP, association des jeunes diplomates et politologues.
*Nassirou bodo, un jeunes activiste
Présentation : DON D
Franco-Zarma