L’organisation mondiale de la santé (OMS), estime que dans le monde, 20 millions d’avortements à risque sont pratiqués chaque année, entraînant plus de 80 000 décès. Selon la même source en 2016, on a estimé que le nombre annuel d’avortements augmentait d’environ 6 millions et que sur 1000 femmes âgées de 15 à 44 ans, 35 ont eu recours à l’avortement.
Au Niger, 10% est le taux de mortalité maternelle lié aux avortements, selon Dr Idrissa Amadou, médecin à la maternité Issaka Gazobi de Niamey.
-Quelles sont les différentes sortes d’avortements et dans quel cas sont-ils pratiqués ?
-L’avortement clandestin est-il pratiqué au Niger ? Si oui, quelles sont les raisons ?
-Quelles sont les conséquences sur la santé de la mère ?
-Peut-on venir à bout de ce phénomène ?
Invités :
– Maman Sani Janjouna : sociologue ;
– Dr Idrissa Amadou : gynécologue à la maternité Issaka Gazobi de Niamey ;
– Adama Tinni : médecin et coordinateur du cabinet Marie Stopes. (Au téléphone)
Présentation : Haoua Ousmane.
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