Les mutilations génitales féminines désignent l’ablation totale ou partielle des organes génitaux féminins extérieurs. Elles se pratiquent généralement avant l’âge de 5 ans.
Selon l’ONG Plan International, cette pratique touche 200 millions de filles et de femmes dans 30 pays du monde et se déroule principalement en Afrique ou l’on estime le nombre de victimes à 91,5 millions de femmes et de filles de plus de 9 ans vivant actuellement avec les conséquences de ces mutilations sexuelles.
– Pourquoi certaines communautés nigériennes pratiquent l’excision, à quelle fin ?
– A ce jour, quelle est la situation de la pratique au Niger ?
– Quelles sont les conséquences de ces pratiques traditionnelles néfastes sur la santé de la fille/femme ?
– Est-ce qu’il existe un mécanisme ou des structures de prise en charge ?
Pour répondre nous avons invité :
– Mme Mounkaila Habsatou : secrétaire exécutive du réseau pour l’élimination de la fistule, au ministère de la santé ;
– Mme Doulaye Maïmouna : Membre de l’ONG CONIPRAT (Comité Nigérien sur les Pratiques Traditionnelles) ;
– Mme Hassane Hassana : Sage-femme;
– Présentation : Rakia Arimi.
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