Depuis l’avènement du système LMD en 2007-2008, chaque année les universités publiques du Niger enregistrent de nouvelles entrées d’étudiants.
Mais force est de constatée que ces universités sont plongées dans un retard académique.
Cette situation est tellement préoccupante à tel point que la question de résorbassions du retard académique est au centre de plusieurs sorties médiatiques des étudiants et de toutes les revendications des étudiants.
Le nouveau gouvernement du Niger issu des dernières élections s’est intéressé à cette situation dans laquelle se trouve l’enseignement supérieur au Niger à travers une note du ministère de l’enseignement supérieur où il est demandé aux 9 universités de faire la situation qui prévaut dans les différentes facultés et à travers une note n°0016MES/R/CAB du 26 Avril 2021qui traite de la normalisation des années académiques au Niger.
-Comment se présente la situation académique dans les différentes universités publiques du Niger ?
-Comment procéder à la normalisation des années académiques dans les différentes universités publiques du Niger ?
-Quel sont les enjeux et les défis que pose cette question de normalisation des années académiques du supérieur ?
-Quelles sont les perspectives pour que cette question de normalisation des années académiques du supérieur soit désormais une réalité ?
Pour répondre à toutes ces questions, Bakin Batouré Almoustapha reçoit :
• Monsieur Faran Maiga Oumarou, Directeur général des enseignements supérieurs,
• Monsieur, Ibrahim Abdoulaye, SCAA DU COMITE DIRECTEUR DE L’USN
• Monsieur Idrissa Moussa, chargé aux relations extérieurs du SYNASUP
• ET monsieur Amadou Abdou Razak S G A du SNECS.