Traditionnellement, le Niger a toujours cultivé la cohésion sociale grâce à des valeurs telles que la paix, l’entraide, la solidarité.
Mais aujourd’hui l’on constat que certains comportements sont en train de fragiliser cette cohésion sociale ; les jeunes se révoltent et manifestent leur mécontentement en sortant dans la rue pour piller et brûler. Comme c’était le cas après la proclamation des résultats des élections présidentielles, en février 2021.
Bien avant en avril 2020 le couvre-feu instauré par le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19 a également occasionné des manifestations à Niamey qui ont fait un mort, plusieurs blessées et des personnes interpellées.
La jeunesse qui représente la majorité de la population est le pilier sur lequel repose le pays pour se développer et assurer un avenir meilleur à tous.
Quelles sont les raisons qui pourraient davantage fragiliser la cohésion sociale au Niger ?
Quel est l’apport de la jeunesse pour une meilleure cohésion sociale?
Qu’est-ce qui pourrait améliorer cette cohésion au Niger ?
Pour en débattre, nous sommes à la place de la culture, (l’ancien site du marché Djamadjé). Avec nous :
- Issaka Oumarou : Président de l’association Tchebero qui milite pour la cohésion sociale.
- Issa Iboun Abdoul Madjid : Président de l’association des jeunes pour l’éducation et le bien-être(AJEB) ;
- Maïmouna Garba : Présidente du réseau autonomisation des jeunes ;
- Koffi Dove : Cadre action pour la démocratie et le droit de l’homme
- Moussa ABDOU : Union des étudiants nigériens à l’université de Niamey UENUN
Présentation : DON D