Classée au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO depuis l’année 2014, la tradition de la parenté à plaisanterie ou le cousinage du Niger est l’un des remparts le plus important de sauvegarde des valeurs socioculturelles et linguistiques. Elle est aussi un segment de la cohésion sociale dont les origines remontent à l’époque de nos ancêtres.
Ainsi à travers cette alliance a plaisanterie qui est gage de préservation de quiétude sociale et aussi cadre de décrispation entre les différentes couches ethniques, on trouve des Zarma qui sont cousins des Gobir, les Tamachek qui sont cousins des Gourmantché, ou les Peulhs qui sont les cousins des Maouri pour ne citer que cela.
Pour en savoir plus sur l’origine, le fondement, l’importance et comment sauvegarder cette pratique de parenté à plaisanterie au Niger, Fati Zakari reçoit :
- Mari Malam Daouda, homme de culture ;
- Abdoulaye Segda, artiste, humoriste ;
- Kazelma Taya, président association culture-Niger ;
- Mamane Koraou, anthropologue.